La rénovation de l’éclairage dans le tertiaire, et particulièrement dans les bureaux, se fait encore attendre, s’effectue avec lenteur, des matériels obsolètes éclairent encore les lieux de travail, à tel point que pour susciter les opérations de rénovation, le
législateur, qu’il soit français ou européen, a dû imposer de nouveaux textes, et rendre obligatoires certaines dispositions.
La rénovation de l’éclairage dans les bureaux devient une priorité, pour ne pas dire une obligation ; tout d’abord pour améliorer le confort des utilisateurs, ensuite pour réaliser des économies d’énergie et donc réduire la facture d’électricité, et enfin pour des raisons
évidentes de durabilité et de respect de l’environnement.
Dossier réalisé par Isabelle Arnaud [Extraits]
Le confort visuel et le bien-être dépendent d’un certain nombre de paramètres qui assurent de bonnes conditions de travail. Des niveaux d’éclairement suffisants, le contrôle des luminances et de l’éblouissement (Code du travail, norme NF EN 12464, norme NF X35-103 notamment) contribuent à obtenir une bonne ergonomie de l’espace de travail.
Mais avant tout, il faut considérer les apports de lumière naturelle qui jouent un rôle primordial dans l’amélioration du confort visuel. Une rénovation complète des locaux peut être l’occasion de favoriser les apports de lumière du jour et d’y associer des systèmes de détection afin de n’utiliser l’éclairage artificiel que comme appoint de la lumière naturelle, en garantissant en permanence un niveau d’éclairement constant sur la zone de travail.
Pour réduire les consommations et donc la facture d’électricité, répondront les uns en pensant également à limiter l’impact environnemental. Pour apporter plus de confort visuel et améliorer les conditions de travail, diront les autres. Pour tout cela expliqueront certains : limiter les dépenses, mieux gérer l’éclairage, offrir une lumière de qualité afin d’apporter plus de bien-être, être plus éco-responsable, et se doter d’équipements durables et réparables. Que des bonnes raisons pour se défaire de technologies anciennes, et les remplacer par des systèmes efficaces et performants. Les exemples présentés dans les pages qui suivent sont évidemment les plus beaux, élaborés souvent par des concepteurs lumière aguerris, mettant en œuvre des équipements
performants, efficaces, durables, aux designs imaginés par les plus grands.
Il faut savoir que dans les bureaux l’éclairage représente environ 20 % des consommations d’électricité, aussi la modernisation des installations s’avère-t-elle une des opérations les plus rentables, à très court terme, et durablement (voir la collection « Clés pour agir » publiée par l’ADEME : guide Rénover l’éclairage des bâtiments tertiaires) ; encore faut-il qu’elle mette en place des équipements efficaces. Et si la rénovation thermique nécessite une approche globale, l’éclairage peut être une première étape pour entrer dans une démarche de réduction de la consommation d’énergie, avec des solutions simples et éprouvées, et venir ainsi contribuer à atteindre des objectifs fixés par le décret tertiaire. Le délégué général du Syndicat de l’éclairage, Dominique Ouvrard, estime que « le taux de rénovation de l’éclairage des bureaux est de l’ordre de 10 % par an, et que plus de 70 % ne sont pas conformes aux exigences réglementaires d’efficacité énergétique de la RT Existant par élément ».
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Le centre d’affaires La Boursidière vise – 40 % de consommation d’énergie avant 2030, par Sylvania Group
Le centre d’affaires La Boursidière accueille une trentaine d’entreprises en multi-location depuis 50 ans cette année. À l’instar des plus grands biens immobiliers professionnels, il a pour obligation de répondre aux exigences des décrets tertiaire et BACS visant une réduction progressive de la consommation d’énergie finale de – 40 à – 60 % en 2050. C’est dans ce cadre que la SCI La Boursidière a fait appel à Sylvania Group pour l’accompagner dans la rénovation de son installation d’éclairage afin de remplacer les anciens tubes fluorescents par des luminaires leds associés à une gestion intelligente.
Avec plus de 30 locataires et près de 2 000 salariés répartis dans 16 bâtiments sur une surface totale de 65 000 m², l’immeuble a déjà connu plusieurs phases de rénovation avec, dans les années 2000, une première modernisation de l’éclairage et des travaux d’embellissement des façades et d’isolation thermique de l’enveloppe en 2014.
Le site a réduit de 29 % sa consommation énergétique. « « L’immeuble étant équipé de milliers de tubes fluorescents tout ou rien avec une puissance installée de 50 W/m², ce qui est considérable, l’éclairage était l’un de nos principaux leviers pour atteindre l’objectif de – 40 % en 2030 », explique Christian Choffy, assistant au maître d’ouvrage. Raison pour laquelle le centre d’affaires s’est rapproché de Sylvania Group pour l’aider à repenser son installation avec comme directive de trouver des luminaires qui apportent un maximum de confort visuel aux occupants et qui lui permettent de passer à terme en GTB de classe A (régulation et GTB à fort rendement énergétique) et, ainsi, d’être en conformité avec le décret BACS.
Rénovation d’un premier bâtiment
À l’issue d’un audit énergétique réalisé par les équipes de Sylvania Group dans un premier bâtiment R+4 en tenant compte du cahier des charges de La Boursidière et des exigences réglementaires, les luminaires leds Optix d’une puissance installée d’à peine 5 W/m² (soit 10 fois moins qu’auparavant) ont été préconisés. Associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, ils détectent la présence et la luminosité pour ajuster l’éclairage et apportent ainsi une réduction supplémentaire de 10 % en kWh consommés. « le premier plateau de 3 000 m² qui a été rénové, j’ai estimé des économies de l’ordre d’une vingtaine de milliers d’euros », souligne Christian Choffy.
À partir de ces résultats, La Boursidière a établi un cahier des charges type de rénovation de l’éclairage pour le dupliquer à l’ensemble du centre d’affaires au fur et à mesure des changements de locataires, comme récemment dans les bureaux de la société Niterra France, d’une surface de 600 m², situés dans le même bâtiment. Au total, 950 luminaires Optix ont été installés à ce jour.
Pour les intégrer de façon harmonieuse au plafond et limiter les contraintes techniques de déploiement, ils ont été conçus par l’usine Sylvania Group de Saint-Étienne avec une optique blanche, en 1 300 x 300 mm. « Cette capacité d’adapter les dimensions et de faire du véritable sur-mesure, de façon aussi réactive, a été déterminante pour nous tout comme la fabrication française et l’accompagnement de Sylvania Group, depuis les calculs d’éclairement jusqu’à la mise en œuvre rapide des appareils par l’entreprise SG Électrique », précise Christian Choffy.
Un laboratoire d’exploitation des données avec SylSmart Connected Pro
Pour confirmer les estimations calculées par l’assistant au maître d’ouvrage, 40 luminaires Optix ont été installés avec la passerelle SylSmart Connected Pro. Celle-ci permet de récolter les données liées à l’éclairage afin de superviser sa consommation en temps réel en fonction de l’occupation des locaux et d’optimiser ainsi l’efficacité des luminaires. « Au-delà de la baisse des puissances installées divisées par 10, nous pourrons voir combien consomment les nouveaux appareils et quelle sera la véritable économie réalisée. Grâce à la technologie led et à la gestion intelligente de l’éclairage, nous devrions descendre à 3,5 W/m², ce qui signifie que quand toute La Boursidière sera passée à la led nous pourrions atteindre l’objectif des – 60 % avant l’échéance de 2050 ! », se réjouit Christan Choffy.
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Siège social de Pernod Ricard, Marseille, par Trilux
Pernod Ricard France, dont l’histoire est étroitement liée à Marseille, a installé son siège social dans le nouveau quartier Euroméditerranée de la cité phocéenne, au coeur des Docks, emblématique bâtiment où transitait autrefois l’anis étoilé débarqué des cargos.
Sublimés par Luceos Slim LED noir, une solution d’éclairage moderne et flexible adaptée aux usages tertiaires, les 7 716 m², dont 66 boxes et 19 salles de réunion – 350 collaborateurs – du nouveau siège de Pernod Ricard France bénéficient d’un éclairage éco-performant, homogène, et moderne. Cette rénovation d’envergure illustre les attentes d’un marché en recherche de solutions globales et personnalisées et non plus seulement de la simple fourniture de produits. Conçus sur mesure, les luminaires suspendus Luceos Slim LED noirs habillent avec légèreté et précision la magistrale bâtisse ornée de voûtes en brique, d’atriums et de cours intérieures, et démontrent leur parfaite compatibilité dans les environnements smart building.
Plusieurs espaces, une seule solution d’éclairage
« Le fait d’avoir choisi une seule solution d’éclairage apporte une harmonie et une homogénéité à l’ensemble des espaces », précise Cyril Tosello, responsable commercial Trilux France, qui a participé activement à ce projet. Bureaux, salles de réunion, espaces communs, de convivialité et de repos du siège social bénéficient d’une même technologie personnalisée avec une large surface éclairante sans éblouissement et un éclairage indirect sur toute la longueur du luminaire qui garantissent une excellente qualité d’éclairage.
Connexion en réseau
Pour renforcer l’efficacité, les luminaires sont connectés en réseau avec le système de gestion d’éclairage intelligent LiveLink et associés à des détecteurs de présence et de lumière du jour. « La flexibilité du système LiveLink a permis d’ajuster l’éclairage selon les besoins des occupants (détection et régulation par zone) et de s’adapter aux exigences de la réhabilitation de ce bâtiment du XIXe siècle », ajoute Cyril Tosello. La conception lumière a été réalisée par le BET Indigo Énergie, basé à Aubagne. L’installation de plus de 700 luminaires a été confiée au groupe SNEF. « Je suis très fier de ce projet, non seulement en raison de son ampleur, mais aussi parce qu’il s’agit d’un projet architectural qui met en valeur un bâtiment historique. Avec l’installateur, nous avons relevé le défi de livrer, monter et programmer en un temps record plus de 700 luminaires pilotés avec le système de gestion d’éclairage LiveLink. Le client est pleinement satisfait par le résultat : les luminaires suspendus Luceos Slim en noir s’intègrent parfaitement dans l’architecture historique des Docks de Marseille », souligne Cyril Tosello.
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Métal 57, Boulogne-Billancourt, par iGuzzini
BNP Paribas Real Estate a chargé Dominique Perrault Architecture du projet architectural de reconversion du site Métal 57. L’emblématique construction, commandée par Renault, était l’oeuvre de l’architecte Claude Vasconi, qui a reçu le Grand prix national de l’Architecture. Fruit de la collaboration entre Dominique Perrault et BNP Paribas Real Estate, en concertation avec la ville de Boulogne-Billancourt et les ayants droit de Claude Vasconi représentés par Ignacio Prego Architecte, Métal 57 a remporté 4 prix, dont celui du MIPIM dans la catégorie « Best Refurbished Building ».
Le défi de la transformation dirigée par DPA consistait à conserver l’architecture d’origine et à l’adapter à de nouveaux usages. La construction d’un nouvel édifice en R+8 révèle par contraste la silhouette du volume historique. Les éléments de la façade du nouveau bâtiment, en acier Inox satiné, captent et diffusent la lumière, alors que les parois en verre encastrées et les portes-fenêtres donnent du mouvement et du rythme à l’ensemble.
À l’intérieur, dans la partie dite des « sheds », le bois et la brique renforcent la chaleur de l’atmosphère. Parfait représentant d’une nouvelle génération de bâtiments tertiaires, il propose de nombreux services comme un « food court » cafétérias, restaurants, une salle de sport et un business center, équipé notamment d’un auditorium modulable. Menée par Gaëlle Lauriot-Prévost, la réflexion autour du système d’éclairage part de la volonté de respecter le design du bâtiment original. Le projet de Vasconi laissait en effet entrer une abondante lumière naturelle.
L’éclairage artificiel est intégré avec précision à l’architecture du site, en la mettant en valeur. À cet effet, Gaëlle Lauriot-Prévost a conduit le développement d’un appareil spécial, fabriqué par iGuzzini, dont la source lumineuse et les optiques garantissent un éclairage non éblouissant. Le luminaire spécial est basé sur l’iN30 et les cellules de l’iconique Laser Blade, en intervenant ponctuellement sur les groupes optiques, sur l’alimentation et sur les différents systèmes d’installation. Il a été fourni en finition noire et s’insère dans un jeu graphique du plafond bois.
22 versions de l’appareil ont été développées afin d’être encastrées, posées en porte-à-faux, en suspension, sur plafond et enfin montées sur un mât (toutes dessinées par Gaëlle Lauriot-Prévost), afin d’assurer une uniformité esthétique malgré le grand nombre de modèles. La principale caractéristique de cet appareil est d’avoir aussi des modules très longs – de plus de deux mètres – avec des cellules lumineuses sur toute la longueur et un flux lumineux réduit par rapport au standard. L’appareil appliqué en porte-à-faux est solidement disposé par groupes de trois, dont deux avec émission directe et une indirecte. Pour la version indirecte, iGuzzini a développé des caches particuliers, appliqués sur la partie visible, qui assurent l’uniformité du langage créé par Gaëlle Lauriot-Prévost. En outre, iGuzzini a fourni un important travail d’assistance sur chantier, en collaboration avec la société de conseil pour l’éclairage. Toujours pour faciliter le travail d’installation, des groupes optiques ont été prévus, pouvant être installés, sur place, à l’intérieur du profilé.
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De Krakeling, Amsterdam, par Erco
Erco a contribué à la métamorphose de De Krakeling, un bâtiment situé à Amsterdam et datant du XIXe siècle, en espaces de bureau modernes pour l’investisseur immobilier néerlandais Wereldhave. Ce bâtiment, construit en 1888, était à l’origine un gymnase, puis, plus récemment, un illustre petit théâtre.
Éclairer un intérieur aussi caractéristique a représenté un défi : il fallait répondre aux exigences posées par les bureaux contemporains – notamment en matière de durabilité, flexibilité et confort visuel – tout en respectant et en révélant le caractère historique du bâtiment. C’est Kodde Architecten qui a restauré et transformé le bâtiment de De Krakeling, et Casper Schwarz Architects en a assuré l’aménagement intérieur. En plus des postes de travail situés sur tout le pourtour du rezde- chaussée, une spectaculaire structure en verre et lames de bois a été intégrée au centre de l’espace. Cette structure, qui rappelle l’intérieur en bois d’origine, abrite d’autres bureaux et salles de réunion.
L’intention architecturale était de préserver et de célébrer l’histoire du bâtiment tout en créant un espace de travail contemporain. Ainsi, des traces des couleurs des peintures d’origine ont, par exemple, été laissées à de nombreux endroits, tandis que la nouvelle structure en bois respecte l’enveloppe du bâtiment sans la toucher.
De la lumière et non des luminaires
C’est un installateur qui a, dans un premier temps, imaginé la solution d’éclairage, prévoyant des chemins de câbles, des projecteurs et un éclairage général. Mais le tout paraissait très envahissant dans l’espace. Casper Schwarz s’est alors tourné vers Erco et lui a demandé de trouver une solution plus réfléchie, plus contemporaine et plus discrète, qui s’harmonise avec l’intérieur historique. Le concept minimaliste proposé par Erco se concentre sur la lumière et non sur les appareils d’éclairage. Du point de vue de la préservation du patrimoine, il était essentiel de minimiser toute intervention dans le tissu du bâtiment. Dans les zones, qui constituent des éléments architecturaux sensibles, des détails techniques tels que la passerelle en bois en hauteur et ornementée, permettent, dans la mesure du possible, de dissimuler les sources lumineuses.
Une centaine de projecteurs Optec montés sur rails conducteurs et dotés de répartitions de lumière Wallwash et Wide-flood sont les principaux luminaires utilisés ici. Les systèmes sur rails conducteurs qui éclairent l’élément incurvé du plafond sont installés à la jonction de la passerelle et du plafond, tandis que ceux qui inondent les murs en hauteur sont placés sur les piliers de la passerelle. Cela a permis un montage discret, sans percer ni sectionner la structure. Le recours à l’éclairage indirect sur les surfaces verticales et horizontales du bâtiment principal permet une illumination douce mais plus complète de l’espace. En outre, cela met en valeur les détails architecturaux, tels que le plafond en bois d’origine.
Éclairer uniquement là où c’est nécessaire
Conformément à la philosophie Greenology d’Erco, l’objectif du système mis en place consiste à n’éclairer que ce qui est nécessaire, de manière à éviter le gaspillage d’énergie. L’éclairage fonctionnel fournit une lumière précise aux espaces de travail et aux zones de circulation. Les plafonds et les murs sont éclairés afin d’équilibrer l’espace, donnant ainsi vie aux trois dimensions de l’architecture intérieure. Les downlights Jilly montés sur rails conducteurs – également disponibles en versions apparente, suspendue et encastrée – ont été utilisés pour les espaces de bureaux privés au premier étage de la nouvelle structure en bois. Ici, leur but était d’accroître la flexibilité, de répondre aux différentes configurations du bureau moderne, en permettant une personnalisation et un repositionnement faciles en fonction de l’évolution des postes de travail. Élégant et minimaliste, le downlight Jilly se caractérise par un boîtier plat, rectangulaire, adapté aux pièces de faible hauteur sous plafond. Il associe un système de lentilles extrêmement efficace à une grille anti-éblouissement, alliant confort visuel et efficacité lumineuse élevée. La puissance et la répartition de la lumière autorisent un large espacement entre les appareils pour des concepts d’éclairage conformes aux normes en vigueur tout en étant économiques.
Polyvalent et visuellement attrayant
Ailleurs, il a été fait appel aux luminaires Iku, Parscan et Pollux pour toute une série d’applications. Les downlights Iku, par exemple, ont été mis en place dans les salles de réunion et d’attente du rez-de-chaussée. Ils fournissent un éclairage d’ambiance offrant un grand confort visuel. Disponible en cinq tailles et cinq répartitions de lumière, Iku est doté d’une lumière Tunable White. Avec ses répartitions Wallwash et double- Wallwash, il permet de créer une perception de profondeur visuelle dans les pièces et les couloirs, augmentant ainsi l’impression de luminosité. Pollux, un projecteur polyvalent, fournit une lumière d’accentuation dans la salle d’attente, entre autres. Parscan, compact mais puissant, vient compléter les équipements Optec dans le bâtiment principal. Intégré à la structure type serre, entièrement vitrée, de l’espace déjeuner, il crée, par ailleurs, une ambiance chaleureuse le soir et les jours d’hiver. Erco a travaillé en étroite collaboration avec Casper Schwarz Architects pour concevoir le système d’éclairage, lorsque le plan prévu à l’origine par le promoteur a été abandonné. « Je me suis beaucoup battu pour créer un système d’éclairage qui ferait briller le bâtiment et qui contribuerait à l’ensemble du concept. » Tout en accentuant le rythme de la structure d’origine, l’éclairage a créé un environnement de bureau moderne et sophistiqué.et sophistiqué.