X

Lumières N° 43 – Dossier : Établissements scolaires

Groupe scolaire Jules-Géraud Saliège, Toulouse. Bureau d’études : ITUD. Solution éclairage : Ridi. © Stéphane Lavaure, ITUD

Rénover l’école… L’éclairage, dans l’espace public, et plus particulièrement les bâtiments publics, remonte dans les priorités des collectivités. Il suffit de regarder les plafonds de n’importe quel établissement scolaire construit il y a plus de 30 ans pour constater que la rénovation a encore de beaux jours devant elle.

Réchauffement climatique, plan de sobriété énergétique, prix de l’électricité ont attiré l’attention des pouvoirs publics qui incitent à rénover via des guides « Bâtir l’école » dédiés à chaque niveau – le chapitre « éclairage » est le même dans tous les guides –, rédigés en concertation avec les organisations professionnelles spécialisées et via aussi des aides financières. Ces efforts, conjugués aux technologies disponibles proposées par les fabricants, devraient voir renaître les salles de classe sous une nouvelle lumière. À quand l’obligation d’intégrer des concepteurs lumière aux équipes de rénovation ?

Dossier réalisé par Isabelle Arnaud

 

Bâti scolaire : un enjeu national

Selon le ministère de l’Éducation nationale, chaque jour, plus de 13 millions de personnes fréquentent une école, un collège ou un lycée, soit 63 000 lieux dédiés aux enseignements ainsi qu’au partage des valeurs républicaines. Le programme « Bâti scolaire », mis en place par le ministère, prend en compte les enjeux en matière de conception, d’aménagement et d’équipement des espaces scolaires.

« Les collectivités territoriales sont un acteur clé du bon fonctionnement du service public de l’éducation. Elles démontrent, depuis la décentralisation, un fort attachement à l’école qui se traduit notamment par un investissement important et un fort ancrage des écoles et établissements scolaires dans la dynamique territoriale. Depuis le début du XXIe siècle, les enjeux relatifs aux espaces scolaires ont fortement évolué, notamment en matière de transition écologique, de santé, d’hygiène et de sécurité, d’inclusion et de sécurité ou encore avec le développement du numérique ou l’évolution des pratiques pédagogiques. La forme scolaire doit accompagner ces mutations, c’est la raison pour laquelle j’ai souhaité que le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports contribue de nouveau activement à la réflexion sur les enjeux de conception et d’aménagement des écoles et établissements scolaires. Cette action du ministère répond également à une attente des collectivités territoriales et du monde de l’architecture qui souhaitent répondre de façon plus pertinente aux enjeux d’aujourd’hui et aux attentes des professeurs, des élèves et de leurs familles. Elle repose également sur l’apport de la recherche afin de retenir les orientations favorisant la réussite des élèves tout en s’appuyant et en consolidant les points forts développés par l’école républicaine. Le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports se joint donc à l’ensemble de ces acteurs pour bâtir cette École. » Le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports.

Des écoles favorisant le bien-être de tous
Au printemps 2022, le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports a donné les orientations en matière de conception, d’aménagement et d’équipement des espaces scolaires (écoles, collèges et lycées). Ainsi, le programme « Bâti scolaire » est le fruit d’un premier travail d’état des lieux qui a mobilisé près de 300 intervenants : collectivités territoriales, ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, ministère de la Transition écologique, ministère des Solidarités et de la Santé, services déconcentrés (académies notamment), acteurs de la communauté scolaire, opérateurs publics ou privés, laboratoires de recherche.

Pour le ministère de l’Éducation nationale, « il est primordial d’engager pour chaque projet, et dès la phase d’expression et d’identification du besoin, un échange régulier avec l’ensemble des acteurs de la communauté éducative, au premier rang desquels les élèves et les personnels. En effet, il est nécessaire que les projets conduits soient centrés sur l’usager. Si le questionnement des pratiques usuelles peut être suscité, voire encouragé, il doit s’inscrire dans une réponse aux attentes et aux usages souhaités par les élèves, indépendamment de leur âge, les professeurs et les autres personnels. C’est un facteur clé de la réussite des projets ». Au programme, « la sobriété dans la consommation des ressources est recherchée, tant au niveau de l’énergie que des matériaux utilisés (locaux, biosourcés, réutilisation et réemploi). Le critère prioritaire est le coût global d’installation et de fonctionnement calculé sur le cycle de vie de l’installation ou de l’équipement ».

Les espaces doivent être attractifs et confortables pour les élèves et tous les personnels de l’école, avec un soin particulier accordé au choix des matériaux (facilité et économie d’entretien, durabilité, fonctionnalité…), des couleurs, des dispositifs d’éclairage et au confort acoustique. Une signalétique adaptée aux publics est mise en place.

5 guides : de la maternelle au lycée professionnel
Le ministère met à disposition la collection des guides « Bâtir l’école », auxquels ont participé de nombreuses organisations professionnelles (dont notamment le Syndicat de l’éclairage), et qui ont pour objectif de mettre en lumière le lien entre les conditions architecturales et l’apprentissage et entre les conditions bâtimentaires et le bien-être des habitants, au sens des usagers des lieux. Les espaces scolaires sont visités dans ces guides par la question des usages. Des pistes sont également suggérées pour améliorer significativement l’adéquation entre usages et bâti dans le cas des opérations de construction, de rénovation ou d’aménagements pilotées par les collectivités territoriales. Un chapitre de 7 pages est consacré à l’éclairage de l’école, qu’il s’agisse du neuf ou de la rénovation. Cette partie est présentée dans les colonnes de notre magazine.

 

•••

École Koninklijke Visio Onderwijs Bréda, Pays-Bas, par Ledvance

© Ledvance

Cette école accueille des enfants polyhandicapés qui ont des besoins spécifiques en matière d’éclairage. Le contrôle de l’éblouissement ainsi que l’uniformité de l’éclairage ont joué un rôle très important dans ce projet.

L’une des contraintes consistait à ce que les faisceaux de la lumière à 45° n’excèdent pas 500 candelas par mètre carré. De plus, l’UGR devait être inférieur ou égal à 16, avec une lumière chaude de 3 000 K. Des luminaires de 50 W et des modèles 1 200 mm de 33 W étaient la solution idéale puisqu’ils respectent les exigences strictes du projet.

Les luminaires Linear IndiviLED direct DALI distribuent la lumière de manière uniforme et offrent un faible éblouissement avec un UGR inférieur à 16 grâce à leur optique IndiviLED et permettent de réaliser jusqu’à 50 % d’économies d’énergie par rapport à des tubes fluorescents T5 classiques.

Au total, dans l’école, ce sont près de 400 luminaires qui ont été déployés. Dans les couloirs, les vestiaires et les douches, des luminaires Linear Surface IP44, de 1 500 mm, 43 W et Panel 1 200 mm ont été installés.

Le nouveau concept d’éclairage a été complété par des downlights Slim Square, installés dans les toilettes, ainsi que des downlights Slim et des luminaires Surface Circular pour éclairer les murs. « La nouvelle solution d’éclairage a permis de réaliser 60 % d’économies d’énergie. En comparaison avec l’ancien système d’éclairage, le flux lumineux a pratiquement doublé », a commenté Bart Verkerke, conseiller technique chez BINK Elektro, installateur.

© Ledvance
© Ledvance
© Ledvance

 

•••

École nationale supérieure de chimie ParisTech-PSL, par Sylvania

© Sylvania. Photo Arthur Pequin

Créée en 1896 par Charles Friedel dans le 5e arrondissement de Paris, l’école nationale supérieure de Chimie ParisTech- PSL accueille 476 élèves et 120 enseignants-chercheurs. D’une superficie de 14 300 m², le bâtiment se compose de 450 salles de classe, de deux laboratoires, de trois amphithéâtres ainsi que de bureaux, éclairés par plus de 2 000 luminaires. En juin 2021, des travaux portant sur la rénovation énergétique, dont l’amélioration de l’éclairage, ont été engagés grâce à l’obtention d’un financement de l’État à hauteur de 7,4 millions d’euros dans le cadre du plan France Relance. « Pour faire baisser les coûts, nous souhaitions mettre en place un système de gestion d’éclairage associé à des luminaires leds. Nous avons lancé un appel d’offres auquel trois entreprises ont répondu dont OCS Technology qui, après l’avoir remporté, s’est rapprochée de Sylvania », explique Patrick Guezo, responsable du patrimoine et des services techniques de l’établissement depuis 32 ans. « Nous avons opté pour le système de gestion d’éclairage Bluetooth SylSmart Connected de Sylvania qui évitait de passer des fils et qui était rapide à mettre en oeuvre en milieu occupé », précise Erwan Guerin, de l’entreprise d’électricité OCS Technology.

« Sylvania s’est chargé de l’étude d’éclairage. Grâce à notre système PLAN, nous avons fait tout le relevé de l’existant par typologie d’activité en tenant compte des heures d’utilisation. Ceci nous a permis de définir le type et le nombre de luminaires à remplacer. Cette analyse a révélé que la consommation d’énergie liée à l’éclairage serait réduite de 66 % sur la base de 2 500 heures de fonctionnement annuel, alors que les engagements du Plan de Relance portent sur 60 % », ajoute Philippe Jedrezak, chargé d’affaires chez Sylvania.

C’est ainsi que la solution de gestion d’éclairage intelligente, décentralisée et connectée, SylSmart Connected a été retenue pour accroître l’efficacité énergétique sans compromettre le confort des occupants. Sans câblage ni appareil de commande supplémentaire, elle fonctionne grâce à des luminaires leds intégrant un détecteur de luminosité et de présence, un module de communication sans fil. Les luminaires communiquent entre eux et fonctionnent en automatique, ou ils peuvent être contrôlés à l’aide d’un smartphone. Dans les grandes salles, plusieurs groupes de luminaires ont été définis pour obtenir la même consigne d’éclairage. Dans les bureaux, les amphithéâtres et salles de classe, chaque utilisateur peut prendre la main sur le système pour grader ou éteindre les luminaires.

© Sylvania. Photo Arthur Pequin

SylSmart Connected de Sylvania pilote et gère :

  • environ 1 000 Opticlip SSA (60 000 h, L80 B10), luminaires encastrés équipés de deux modules leds remplaçables de format 600 x 600 et 1 200 mm x 300 mm installés dans les bureaux, salles de classe et circulations. « Nous ne sommes pas obligés de changer l’appareil en totalité en cas de problème. C’est un réel avantage tant pour la maintenance que pour la préservation de la planète », déclare Patrick Guezo ;
  • 600 Resisto étanches SSA (IP 66) dans les salles de travaux pratiques et les laboratoires dans lesquels des produits chimiques sont utilisés.

Dans les autres espaces, sont installés :

  • des downlights encastrés Insaver Slim (5 000 lm) au plafond de l’amphithéâtre Friedel, des réglettes en lèche-mur qui assurent l’éclairage en corniche ainsi que des luminaires Rana asymétriques (1 200 x 300 mm) au-dessus des tableaux ;
  • des dalles Start Panel 600 x 600 avec diffuseur prismatique qui offrent une répartition homogène et claire de la lumière dans les bureaux administratifs ;
  • des hublots Start Surface IP66 pour les montées d’escalier.

Les luminaires ont été paramétrés pour procurer 300 lux dans les bureaux, 500 lux dans les laboratoires, salles de classe et amphithéâtres et 150 lux dans les circulations.

© Sylvania. Photo Arthur Pequin

 

•••

Université Paris Sorbonne, par Clareo Lighting

Maîtrise d’ouvrage : Épaurif – établissement public d’aménagement universitaire de la région Île-de-France. Maître d’œuvre/architecte : 2Portzamparc. Bureau d’étude : CERIS Ingénierie, puis Igrec Ingénierie. Installateur : INEO Equans. © Benoît Diacre

Le nouveau campus de l’université Sorbonne-Nouvelle, situé dans le 12e arrondissement de Paris, a ouvert ses portes en 2022. INEO Tertiaire a sollicité Clareo pour concevoir, fabriquer et livrer plus de 7 000 luminaires.

Le nouveau site de 26 000 m² est constitué de quatre bâtiments, avec chacun ses spécificités. On y retrouve un restaurant, une bibliothèque de trois étages, de grands amphithéâtres, ainsi que des salles de travaux dirigés, des bureaux administratifs et associatifs.

« L’université Paris Sorbonne souhaitait un produit spécifique pour les trois étages de bibliothèque, confie Cyril Corno, responsable d’affaires adjoint chez INEO Tertiaire Projets Complexes. Nous avons transmis à Clareo les plans et documents nécessaires à l’étude d’éclairage, et notamment à la création d’arches lumineuses. »

Clareo a fourni pas moins de 7 000 luminaires, allant des encastrés Panel aux lignes lumineuses LineLED, en passant par les downlights de circulation. Les « arches lumineuses » ont été conçues et développées sur mesure par Clareo. Fabriquées en France, leurs tailles ont été adaptées directement aux dimensions des tables de la bibliothèque de la Sorbonne, le tout avec un design innovant et résolument moderne. Au total, Clareo a fourni plus de 100 arches lumineuses sur mesure.

© Benoît Diacre
© Benoît Diacre
© Benoît Diacre

 

•••

Rénovation de 26 collèges dans l’Allier, par Disano

© Jérôme Laparra, L. TECH

Le Département de l’Allier a pris contact avec les bureaux d’études IGETEC (Pierre Nigou, directeur technique) et L. TECH (Jérôme Laparra) afin de procéder au relamping des bâtiments publics et des collèges dans le cadre d’une vaste opération de rénovation de l’éclairage. Pierre Nigou – Aujourd’hui, le relamping est très difficile, car d’un site à un autre, on trouve une grande disparité de sources et d’appareils. Nous avons donc proposé au département de remplacer tous les luminaires existants par des luminaires leds dans 26 collèges sur 38 établissements publics de l’Allier.

Jérôme Laparra – Le département bénéficiait de subventions (France Relance) pour rénover l’éclairage afin de réaliser des économies d’énergie. Pierre Nigou et moi-même sommes intervenus sur les collèges en même temps, afin de pouvoir respecter le calendrier, très serré. IGETEC et L. TECH ont réalisé autant d’études qu’il y avait de collèges mais ont décidé, pour des raisons économiques et de cohérence des matériels, de prescrire les mêmes luminaires. Le cahier des charges était simple : passer à l’éclairage led pour faire des économies d’énergie et obtenir 500 lux sur les tables, et 300 lux pour l’ambiance lumineuse générale. Des systèmes de détection de présence ont été mis en place dans l’ensemble des circulations et des sanitaires. Jérôme Laparra – Nous avons également fait le choix, chaque fois que cela était possible, de remplacer les luminaires 1 pour 1 : cela nous a permis de gagner du temps mais aussi de réduire les frais d’installation puisqu’il n’était pas nécessaire de tout recâbler.

Pierre Nigou – Dans cinq collèges cependant, nous avons été contraints de refaire en partie les installations existantes, car elles étaient trop vétustes et il était impossible de conserver le même réseau d’alimentation du fait de la répartition insuffisante des luminaires existants. Pour le luminaire, j’ai tout de suite pensé à Disano, avec qui je travaille depuis plusieurs années et dont les produits sont fiables et durables. Les opérations de maintenance sont assez compliquées dans une salle de classe, il faut donc veiller à prendre des appareils qui présentent une longue durée de vie et qui soient faciles à entretenir. Jérôme Laparra – La maîtrise d’ouvrage n’avait pas d’exigences particulières concernant le type de produit d’éclairage. En revanche, nos deux bureaux d’études ont l’habitude de travailler avec Disano et nous sommes tombés d’accord assez vite sur le choix du Minicomfort. On est passé de 72 W à 28 W ou 37 W selon les zones, donc une puissance installée divisée par 2, voire 2,5 dans certains cas pour un confort visuel nettement amélioré. Pierre Nigou – D’ailleurs, le département a engagé la réalisation de collèges prévus en tranches optionnelles.

Jérôme Bourret, technico-commercial, Disano – Minicomfort est facile à installer en plafonnier, notamment grâce aux accessoires mis au point tout spécialement pour simplifier la pose. Sa forme garantit une répartition uniforme de la lumière. Les leds blanches (4 000 K) émettent une lumière de première qualité qui offre un confort visuel maximal et un rendu des couleurs (supérieur à 80).

Si nous comparons ces plafonniers à ceux à lampes fluorescentes T8 les plus répandus sur le marché, l’économie d’énergie est vraiment très évidente : plus de 60 % d’économie par rapport aux plafonniers 4 x 18 W avec optique basse luminance. Minicomfort propose un UGR<16 et présente une durée de vie de 80 000 heures. Minicomfort est aussi élégant que pratique : avec la connectique rapide, il n’est plus nécessaire d’ouvrir les appareils pour les installer. Sur l’ensemble de cette opération collèges, Disano a livré environ 10 000 luminaires.

© Jérôme Laparra, L. TECH
© Jérôme Laparra, L. TECH

 

•••

Groupe scolaire Jules-Géraud Saliège, Toulouse, par Ridi

Maîtrise d’ouvrage : Mairie de Toulouse. Architectes : Espagno Milani. Bureau d’études : ITUD (Fronton) © Stéphane Lavaure, ITUD

Ce groupe scolaire, sorti de terre pour la rentrée 2022, comporte 10 classes de maternelle et 14 classes d’élémentaire. Un projet ambitieux, dont la démarche reposait à la fois sur le confort thermique des occupants, la sobriété énergétique et la facilité d’exploitation du bâtiment.

Tout le site devait présenter des équipements aussi efficaces que vertueux en termes de consommation.

« Dans ce contexte, explique Raynald Vilaine, responsable prescription, Ridi, le bureau d’études ITUD a fait appel à nous pour nos luminaires maintenables et réparables. De plus, l’architecte souhaitait des luminaires très fins, intégrés dans les plafonds, quel que soit le type de plafonds. Certaines salles de classe comprennent les plafonds modulables (photo du haut) où il était facile d’installer nos luminaires et d’autres des panneaux acoustiques de couleur suspendus (photo du bas). L’idée de l’architecte était de positionner les luminaires d’une façon qui paraisse aléatoire. »

Le bureau d’études a choisi les luminaires Venice, profilé en aluminium. « Les modules leds de ces luminaires sont réparables ou remplaçables sans problème, poursuit Raynald Vilaine ; ils sont faciles à identifier grâce aux pictogrammes qui indiquent ce qui est réparable et remplaçable et s’il faut une personne qualifiée ou non. »

Le luminaire Venice offre une efficacité de 118 lm/W et dispose d’une grille de défilement pour limiter l’éblouissement sous un angle de 65° avec une température de couleur de 4 000 K. Il est gradable en commande manuelle. Il affiche une durée de vie de 50 000 heures (L80). En tout, 363 luminaires ont été installés dans les salles de classe, bureaux et couloirs.

© Stéphane Lavaure, ITUD
© Stéphane Lavaure, ITUD

 

 

Isabelle ARNAUD: Rédactrice en chef de la revue Lumières
Related Post