TE Connectivity (TE), leader mondial de la connectivité et des capteurs, propose une solution d’essai novatrice pour les armoires digitales comprenant des capteurs. La solution ESSAILEC RJ45 de la gamme de blocs d’essai ESSAILEC a été spécialement conçue pour répondre aux exigences de sécurité et de fiabilité de tests des producteurs d’énergie. Les opérations d’essai sont menées sans ouvrir la porte de l’armoire et sans en modifier le câblage.
« Nos produits ESSAILEC sont plébiscités par les principaux fournisseurs d’énergie et sont implantés depuis des années dans les réseaux de production, de transport et de distribution d’électricité dans le monde entier, » déclare Anna-Line Escoffier, Global Product Manager Power Applications chez TE Connectivity. « Ils permettent de réaliser simplement et en toute sécurité des opérations d’essai : mesure de courant et de tension, surveillance, injection, réparation ou remplacement de compteurs et de relais de protection installés dans des circuits secondaires de transformateurs et de capteurs de courant et de tension. La solution ESSAILEC RJ45 est dédiée aux opérations d’essai et de mesure sur les capteurs de courant et de tension, ainsi que sur les relais de protection numériques. »
ESSAILEC RJ45 est une solution compacte, plug and play, composée d’une embase et d’une fiche d’essai, L’embase est installée en permanence dans l’armoire et est raccordée rapidement grâce à sa connexion RJ45 aux capteurs et au relais de protection. Le corps blindé de l’embase et du couvercle ESSAILEC RJ45 garantit la conformité CEM et la protection des signaux dans l’armoire.
Lors de l’opération de test ou de maintenance, la fiche est connectée à l’équipement d’essai puis à l’embase Essailec RJ45 et permet d’effectuer des mesures sur les capteurs de courant ou de tension, ou bien d’injecter des signaux dans le relais pour vérifier son bon fonctionnement.
« Compacte, facile à utiliser et sûre, la solution d’essai ESSAILEC RJ45 est la mieux adaptée aux armoires digitales, nouvellement introduites sur le marché. » conclut Anna-Line Escoffier.
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