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Le Gimélec dévoile sa nouvelle identité visuelle et ses comités

Dans le contexte de la transition écologique et numérique, le Gimélec mobilise la filière électronumérique pour améliorer la performance énergétique des bâtiments, développer l’intelligence énergétique, faire émerger une industrie innovante et promouvoir le numérique durable. L’objectif du Gimélec est de porter l’intelligence électronumérique pour faire émerger des infrastructures intelligentes pour les bâtiments, l’industrie et la mobilité.

Depuis la création du Gimélec au début des années 1970, les enjeux ont énormément évolué. Les nouveaux usages électriques et numériques impactent tous les secteurs de l’économie et constituent une réponse aux enjeux actuels.

Selon Christel Heydemann, présidente du Gimélec et présidente de Schneider Electric France : « Fidèle à son histoire, le Gimélec se place plus que jamais aux côtés de ses adhérents dans ce nouveau contexte de conjonction de l’électron et de l’octet. Le Gimélec affirme aussi son engagement en faveur de l’économie circulaire qui s’inscrit dans une volonté de développement des entreprises en France et à l’international. »

Le 3 juin 2019, le Gimélec a rassemblé ses adhérents et partenaires à la Cité des Sciences et de l’Industrie autour de son événement ‘Smart Up’. L’occasion pour le Groupement des entreprises de la filière électronumérique de s’exprimer sur les enjeux de la filière et de lancer quatre comités dédiés :
• Le comité Smart Up Energies pour l’intelligence énergétique
• Le comité Smart Up Bâtiments pour des bâtiments performants
• Le comité Smart Up Industrie pour une industrie innovante
• Le comité Smart Up IT Power pour un numérique durable

En plus de ces quatre collectifs, le Gimélec dévoile sa nouvelle signature : « Nous décuplons les énergies ! »


Le Gimélec en chiffres :
– 200 entreprises adhérentes
– 67 000 emplois en France
– 15 milliards d’euros générés depuis la France
– 85 % des entreprises adhérentes portent des offres numériques
– 90 % de la profession représentée
– 25% des experts français impliqués dans la normalisation des électrotechnologies

Filière 3e: