Selon un nouveau rapport commandé par la Commission européenne, les technologies de captage et stockage du CO2 devront jouer un rôle primordial dans les politiques nationales de lutte contre le réchauffement climatique. L’Agence internationale de l’énergie et le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ont en effet souhaité remettre à l’ordre du jour les bénéfices de la séquestration géologique du dioxyde de carbone dans le cadre des négociations internationales sur le climat. Une technologie indispensable au regard du nombre de centrales thermiques en activité et en projet à l’heure actuelle à l’échelle internationale.
Si les mesures d’économies d’énergie et le développement des énergies renouvelables au détriment des énergies fossiles constituent à ce jour les moyens les plus durables pour lutter contre le changement climatique, la proportion et le développement croissant des centrales de production thermique imposent une meilleure adaptation de ces politiques dans le sens d’une plus grande efficacité à court terme. La technologie de captage-stockage du carbone, qui consiste à aspirer le dioxyde de carbone contenu dans les fumées des centrales thermiques pour l’enfouir dans des centres de stockage souterrains, permettrait ainsi d’éviter plus de 20% des émissions mondiales de CO2 d’ici 2050.
Cela étant, cette technique n’a toujours pas suscité l’enthousiasme auquel on pourrait s’attendre et très peu de centrales sont à ce jour équipées. Elles ne sont que 13 dont 9 en Amérique du Nord et près d’une cinquantaine en projet. Des projets bien souvent ralentis pour raisons financières, la technologie du captage-stockage du CO2 nécessitant des dispositifs très coûteux.
En Europe, les projets se font donc très rares et seule la Grande-Bretagne semble véritablement miser sur cette technologie. Le pays dispose en effet d’anciens gisements d’hydrocarbures dans la mer du nord qui feraient de parfaits sites de stockage. Mais là encore, le coût des infrastructures freine ces bonnes intentions qui nécessitent des investissements publics colossaux.
En France, le groupe EDF s’est associé avec l’industriel Alstom et l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) afin de tester depuis 2013 un nouveau procédé de captage de CO2 sur la centrale à charbon du Havre en Seine-Maritime. Comme le précisait au journal Le monde Michel Tournier, directeur de la division production et ingénierie thermique d’EDF, « les résultats sont encourageants » et cette technologie permet aujourd’hui de capter plus d’une tonne de CO2 par heure. Mais il reste encore beaucoup de « progrès à accomplir pour diminuer la perte de rendement énergétique générée par ces systèmes. Il faut poursuivre les recherches en ciblant des projets qui, économiquement, pourront devenir acceptables par les industriels », a-t-il ajouté.
Le coût et l’impact sur la production de tels dispositifs ne sont pas les seules difficultés à franchir avant de généraliser cette nouvelle technologie. Une fois capté, le CO2 doit être stocké et la pertinence écologique des moyens de séquestration du carbone reste encore à démontrer et dépend des caractéristiques de chaque milieu géologique concerné. Des études précises site par site devront être réalisées.
Un chantier de recherche qui s’annonce aussi bien colossal qu’indispensable à l’heure où le développement des moyens de production thermique reste en progression à l’échelle mondiale. En effet, de nombreux pays développés ou émergents comme la Chine, l’Inde ou plus près de nous, l’Allemagne et la Pologne, ne semblent pas en position de renoncer au charbon et les technologies de captage-stockage du CO2 s’avéreront alors plus que nécessaires dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Voici un navrant exemple de dépenses inutiles à la charge des citoyens.
Avant de penser à réduire drastiquement nos émissions de CO2, gaz de la vie, car sans lui, pas de photosynthèse, il faudrait se poser deux questions :
1) Comment est-il possible de déduire une relation de causalité CO2-température sur la base de la seule courte période de covariation CO2-TMAG (température moyenne annuelle globale), de 1978 à 1997 ?
2) Pourquoi n’y a-t-il plus de réchauffement global depuis 1997, alors que, sur cette période, nous avons émis plus de 40% de toutes nos émissions depuis le début de l’ère industrielle ?
La supposée relation de causalité CO2–>température, préconfigurée dans les statuts du GIEC, et jamais scientifiquement prouvée, serait-elle une chimère « idéologique » ? La sagesse voudrait que l’on ne fasse rien jusqu’en 2020, car alors, en cas de non-RC ou de refroidissement, les thèses du GIEC seraient bonnes à être mises à la poubelle et les pays auraient économisé des dizaines de milliers de milliards d’euros qui n’auraient eu aucune utilité, sauf à provoquer une récession généralisée…mais, compte tenu de l’hystérie climatique collective, je crains que les politiques de sauvetage de la planète, pour traiter un problème qui n’existe pas, ne soient engagées au niveau planétaire…pour le plus grand malheur des citoyens…qui en paieront le prix douloureux…
Voici un navrant exemple de dépenses inutiles à la charge des citoyens. Avant de penser à réduire drastiquement nos émissions de CO2, gaz de la vie, car sans lui, pas de photosynthèse, il faudrait se poser deux questions :
1) Comment est-il possible de déduire une relation de causalité CO2-température sur la base de la seule courte période de covariation CO2-TMAG (température moyenne annuelle globale), de 1978 à 1997 ?
2) Pourquoi n’y a-t-il plus de réchauffement global depuis 1997, alors que, sur cette période, nous avons émis plus de 40% de toutes nos émissions depuis le début de l’ère industrielle ?
La supposée relation de causalité CO2–>température, préconfigurée dans les statuts du GIEC, et jamais scientifiquement prouvée, serait-elle une chimère « idéologique » ? La sagesse voudrait que l’on ne fasse rien jusqu’en 2020, car alors, en cas de non-RC ou de refroidissement, les thèses du GIEC seraient bonnes à être mises à la poubelle et les pays auraient économisé des dizaines de milliers de milliards d’euros qui n’auraient eu aucune utilité, sauf à provoquer une récession généralisée…mais, compte tenu de l’hystérie climatique collective, je crains que les politiques de sauvetage de la planète, pour traiter un problème qui n’existe pas, ne soient engagées au niveau planétaire…pour le plus grand malheur des citoyens…qui en paieront le prix douloureux…