La Ligne D est la nouvelle gamme d’interrupteurs horaires numériques signée ABB. Le design exclusif, avec afficheur LCD blanc à rétroéclairage, et l’extrême simplicité d’utilisation, avec menu à deux lignes de texte et seulement quatre boutons, rendent les produits de la ligne D idéaux dans l’automatisation des fonctions de l’installation.
Grâce à la gestion novatrice des périodes de congés, la nouvelle Ligne D permet d’exclure le programme hebdomadaire normal pendant une ou plusieurs périodes de l’année ou à cheval sur deux années. La gamme comprend des versions à 1 et 2 canaux, dotées de batterie interne de grande capacité pour le fonctionnement en cas d’absence de courant et de mémoire permanente EEPROM qui garantit le respect de la programmation et le maintien des réglages en cas de manque d’alimentation.
Les versions “PLUS” permettent de copier et de transférer un ou plusieurs programmes sur différents appareils à travers une clé de mémoire, en évitant ainsi les pertes de temps et les erreurs dues à une nouvelle programmation. Les versions “SYNCHRO” sont associées à l’antenne D DCF, qui permet la synchronisation automatique de l’interrupteur horaire avec le signal de Francfort DCF77, ou à l’antenne D GPS, qui permet la synchronisation avec le signal reçu par le Global Positioning System, solution qui offre une valeur plus précise par rapport aux transmissions terrestres. Ces versions sont idéales pour permettre de maintenir un ou plusieurs interrupteurs synchronisés même s’ils sont installés dans des lieux sans surveillance.
Les fonctions spéciales de la nouvelle gamme
– programme standard : la fonction standard permet d’effectuer une ou plusieurs programmations pour contrôler des charges, comme par exemple l’éclairage et/ou le chauffage d’une école. Le temps ON et le temps OFF peuvent changer sur les deux canaux de manière indépendante (ex : éclairage actif de LUN à VEN de 08h00 à 18h00, et chauffage actif de LUN à VEN de 07h00 à 10h00).
– programme cyclique : la fonction cycle permet d’effectuer une série d’impulsions ou une temporisation cyclique pour contrôler des charges comme l’enseigne lumineuse ou les cloches d’une école. Le temps ON et le temps OFF peuvent être réglés de 1 seconde jusqu’à 23 heures, 59 minutes et 59 secondes.
– programme congés : la fonction congés permet de suspendre les programmes en cours pendant une période définie. Elle s’avère donc très utile pour gérer, par exemple, la fermeture en été. Avec le programme congés on peut gérer aussi des périodes à cheval sur deux années, comme la période de Noël et de l’Epiphanie.
– programme aléatoire : la fonction aléatoire permet d’allumer et d’éteindre les charges de manière aléatoire pour simuler, par exemple, la présence dans des zones non surveillées.
* Pour plus d’informations sur la réglementation, veuillez vous reporter page 3.
– Innovations :
- gestion des congés et possibilité de les programmer pendant plusieurs périodes de l’année
- gestion de la garantie du produit : l’horloge et la batterie interne s’activent à
- la première mise en service, pas avant
- programmation par menu à travers 4 touches simples
- temps minimum de commutation d’1 seconde de série
- menu multi-langues avec choix entre 11 langues
- maintenance des charges reliées : la fonction “compte à rebours” active un avis sur l’afficheur après un nombre préétabli d’heures de fonctionnement
- commutation à charge nulle, pour garantir une plus grande durée de la vie du relais et de la charge elle même
- réserve de charge de 6 ans à partir de la première mise en service garantie par une pile au lithium
Accessoires pour D PLUS et D SYNCHRO
Caractéristiques techniques
À propos de la Nouvelle réglementation sur la publicité lumineuse :
Les règles applicables à la publicité extérieure, aux enseignes et préenseignes sont réformées par le décret n° 2012-118 du 31 janvier 2012 issu de la loi Grenelle 2 du 12 juillet 2010.
Ce décret institue une obligation d’extinction des dispositifs lumineux entre 1h00 et 6h00 du matin et entre en vigueur à partir du 1er juillet 2012. Les économies d’énergie attendues s’élèvent à environ 800 GWh annuels pour les enseignes et plus de 200 GWh pour les publicités, soit l’équivalent de la consommation électrique annuelle (hors chauffage et eau chaude) de plus de 370 000 ménages.
Les enseignes et préenseignes lumineuses
Elles doivent être éteintes entre 1h00 et 6h00, lorsque l’activité signalée a cessé.
Une enseigne désigne toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble et relative à une activité qui s’y exerce. Une préenseigne est toute inscription, forme ou image indiquant la proximité d’un immeuble où s’exerce une activité déterminée.
Lorsqu’une activité cesse ou commence entre minuit et 7h00, les enseignes doivent être éteintes au plus tard une heure après la cessation d’activité de l’établissement et peuvent être allumées une heure avant la reprise de cette activité.
Par exemple, un restaurant ouvre de 19h00 à 3h00, l’enseigne devra être éteinte de 4h00 (3h00 +1h) au plus tard à 6h00.
Les publicités lumineuses dans les unités urbaines de moins de 800.000 habitants
Elles doivent être éteintes entre 1h00 et 6h00, à deux exceptions près.
A l’exclusion des enseignes et des préenseignes, une publicité est toute inscription, forme ou image destinée à informer le public ou à attirer son attention, prenant différentes formes (lettres découpées en toiture de bâtiment, panneaux déroulants rétroéclairés, bâches éclairées, publicités numériques, etc.).
Les publicités lumineuses doivent être éteintes entre 1h00 et 6h00, à l’exception des publicités lumineuses situées sur l’emprise des aéroports et de la plupart des publicités supportées par le mobilier urbain (celles éclairées par projection ou transparence, publicités numériques à images fixes).
Par exemple, un grand écran numérique passant des publicités animées et fixé sur un immeuble doit être éteint entre 1h00 et 6h00. En revanche, un panneau publicitaire situé dans un aéroport peut rester allumé.
Les publicités lumineuses dans les unités urbaines de plus de 800.000 habitants.
Elles sont soumises à des règles locales.
Pour les villes de Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Lille, Nice et Toulouse, le décret laisse le soin aux règlements locaux de publicité d’adapter la règle selon les zones qu’ils identifient. Dans tous les cas une dérogation est possible à l’occasion d’événements exceptionnels définis par un arrêté municipal ou préfectoral.